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La série Glimpse

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GLIMPSE 19

Les Glimpses compteront bientôt autant de numéros que notre époque de siècles. Mais le numéro 19 est vraiment une cuvée spéciale, mitonnée par un Roy Stuart au sommet de son art. Au cœur de ce Glimpse torride se trouve une longue scène brûlante au cours de laquelle nous assistons à la lente séduction d'une magnifique jeune femme, jamais photographiée ou filmée nue auparavant, et qui se laisse entraîner peu à peu vers le sexe non simulé. Novice peut-être, mais pas : no vice !
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Dans une autre scène présentée comme la "fête de la jouissance", deux filles dans un concours de masturbation féminine, à la fois festif et jouissif, illustrent le pouvoir libérateur et l'originalité d'un événement qu'on souhaiterait revoir chaque année. En conclusion une œuvre magistrale d'authenticité ni érotique ni pornographique : un chef d’œuvre inclassable qui explore la troisième voie ouverte par Roy, et pour lequel il faudrait créer un nouveau mot !

Glimpse 19 est disponible en HD en DVD (PAL) et Blu-Ray (PAL) ACHETER LE BLU-RAY NOW!

Cette jeune femme attire décidément la lumière et le regard, avec un côté secret et presque pudique qui rend d'autant plus frappantes par contraste ses "pertes de contrôle", parfaitement en accord avec cette "troisième voie" transcendant l'érotisme et la pornographie. Entre retenue et abandon, elle oscille constamment jusqu'à ce que le désir l'emporte irrésistiblement, et qu'elle devienne exigeante à son tour. Cette exigence féminine est très rarement montrée au cinéma, pour des raisons de censure et parce qu'elle est particulièrement difficile à saisir. L'intimité sexuelle reste un terrain à explorer au cinéma (Chereau l'a tenté dans le film Intimité, limité par le cadre "grand public"). Le lent crescendo du plaisir féminin auquel ta scène rend justice et hommage est pourtant tout à fait "cinégénique". Alain Robbe-Grillet avait titré un de ses films : "Glissements progressifs du plaisir" et il s'agit bien de cela. Le coït est un mouvement qu'aucune photo ne peut montrer : seul le cinéma, l'art du mouvement par excellence, peut l'illustrer dans sa continuité et sa totalité. La pénétration n'est d'ailleurs pas l'objectif final qui conditionne ce qui la précède, mais simplement une dernière étape ni plus ni moins importante que le reste. Un ultime "glissement", parmi d'autres... - François Louvard

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