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La série des Glimpse
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GLIMPSE 14
Ce nouveau Glimpse, le #14, est presque entièrement voué au sexe féminin et à ses sortilèges. Seuls deux hommes font une apparition, dont l’un si beau ... que c’est sans doute un ange !
De toute origine européenne, asiatique, africaine, de tout caractère timide, espiègle, sérieux, mais toutes jolies, fraîches et gracieuses, sensuelles avant d’être sexuelles et entièrement naturelles les seins de chair et les chattes aux toisons fournies, une quinzaine de jeunes filles nous font parta- ger leur intimité quand elles s’adonnent au plaisir, seules ou en duo, avec le charme, l’innocence, l’enthousiasme des premières fois, du sexe ne faisant pas profession.
Ce Glimpse est particulièrement riche, spécialisé dans la jouissance fémi- nine réelle avec des scènes de sexe mille fois plus fortes et plus puissantes que celles de la pornographie classique. Une séquence spéciale : des extraits du documentaire présenté cet hiver par la chaîne de télévision ARTE. Spéciale non seulement par les clips et un entretien avec Roy Stuart qui y figurent mais aussi par l’intervention d’une jeune artiste de ce Glimpse, égérie du futur Glympstorys, où elle lève le voile avec enjouement sur sa démarche belle et rebelle de modèle.
Cette approche artistique du maestro et cette authenticité de ses modèles
nous conduisent à assister à de vrais orgasmes, visibles et audibles, d’une beauté et d’une puissance de haute intensité qui défient les lois de la mécanique pornographique classique.
A cet égard, une des séquences les plus remarquables est celle de l’adorable japonaise toute réservée au début qui va se révéler de plus en plus déchaînée au fur et à mesure de sa scène - sublime métamorphose - pour finir en apothéose par un jaillissement tsunami irrésistible.
Roy Stuart, comme il aime à le faire de plus en plus souvent, invite deux autres arts majeurs – la poésie et la musique - à participer à la fête pour magnifier la jouissance féminine ... un vrai feu d’artifice du 14 Juillet.
Deux heures vingt de pure magie : plus que jamais, Roy Stuart nous enchante.
- Christian Noirot
Long-métrages